Cher   18
Méreau
Méreau est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
Les habitants de Méreau s'appellent les Marologiens.
D'après monsieur Fontaine, la commune se composait de Gaulois, « Maros » qui signifie « grand » et « ialo » qui signifie « champs, clairière ».
   
   
En 600, la commune s'appelait MEREENSIS. Puis, en 843, elle se nommait MAROLOGIUM. Ensuite en 1213, elle portait le nom MAROLIUM. En 1348, elle se prénommait MEREHO.
La communauté de Méreau est en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 110 feux en 1709 à 82 en 17262. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)
Église Saint-Martin du XIIe siècle et XVe siècle
Château de Chevilly XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Les façade, côtés et toitures du château de Chevilly et de ses communs, y compris le pigeonnier et le moulin du XVIIe s., sont inscrits sur l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par l'arrêté du 6 juin 197710.

Château d'Autry XVe siècle, XVIIIe siècle et XIXe siècle. Les façade, côtés et toitures du château d’Autry, à l’intérieur du château : 4 dessus de porte en camaïeu de la salle à manger située au rez-de-chaussée du corps central, représentant les 4 éléments, la chapelle, les 2 bassins situés de part et d’autre de l’allée d’accès au château et marquant la séparation entre la cour d’honneur et l’avant-cour ou cour d’exploitation, ainsi que la grille en fer forgé qui réunit ces 2 bassins, au centre, dans l’avant-cour : façade, côtés et toiture de la laiterie, façade, côtés et toitures des 2 bâtiments d’habitation qui se font face de part et d’autre de l’allée d’accès au château, le pigeonnier en totalité, sont inscrits sur l’Inventaire Supplémentaire des Monuments historiques : arrêté du 7 mars 198811
Vu sur geneanet projet Registre 18 Méreau 1670-1731 vue 251/268
Jean-René Peulvé jean rene
   
Icy manquent plusieurs actes batistaires mariages et mortuaires par la négligence des parents qui pendant l'interdit de l'église ne sont point venus à la cure le faire écrire
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