Dordogne (24)
Besse
L'église est construite à la fin du XIe siècle. Elle serait un ancien prieuré bénédictin. Il en subsiste la travée de la nef la plus proche du transept et la façade occidentale avec le portail. Les deux premières travées de la nef sont construites au milieu du XIIe siècle.
Au XIVe siècle, l'église devient paroissiale. Le transept et le chœur datent du XVe siècle. Au siècle suivant, l'église dépend du chapitre canonial de Biron. En 1648, on restaure l'église avec des matériaux du vieux château qui la jouxtait et en 1811, on envisage de la détruire.
En 1961, des peintures sont découvertes dans le croisillon sud.
Le portail est la partie la plus remarquable de l'église Les thèmes du portail, exprimant la Rédemption messianique, sont de gauche à droite:
ce superbe village considéré parmi les "villages de caractère du Périgord" voit son origine à partir d'un ancien prieuré bénédictin disparu au XIIIe
Le château datant du XVe siècle et restauré au XVIIe siècle abrite encore une lointaine et honorable lignée familiale. L'église romane, en forme de croix latine, date du XI siècle. L'intérieur porte les traces de fresques encore visibles et sous le sanctuaire, une petite chapelle souterraine. Le bourg qui l'entoure, en forme circulaire, a gardé l'âme d'autrefois, avec ses ruelles pentues recouvertes de pavés et ses maisons restaurées. La commune abrite encore un chêne vert tricentenaire, une voie romaine en bon état et de très anciennes bories.
L'histoire de Besse commence vers l'an 450, avec les invasions barbares de guerriers qui
Le bourg, qui l'entoure, en forme circulaire, a gardé l'âme d'autrefois, avec ses ruelles recouvertes de pavés et ses maisons restaurées.
Le Château date du XVème siècle et est restauré en sauvegardant l'authencité.
L'acte ci-contre est une naissance mais ce sont les surnoms qui sont amusants. Pourquoi ces 2 surnoms lui Pierre Combes fils de Guillaume dit "l'éléphant" ou Guillaumas.
Le père se fait sermonner car la naissance a eu lieu le 19 avril et le baptême seulement le 2 may.
En ce qui concerne les témoins : Bernard Flourenty dit "le moulet" et Jean Vergnal dit " le saraillé"
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