Loire (42)

Renaison

1792

       Renaison se situe au nord-ouest du département de la Loire, à 10 kilomètres à l'ouest de Roanne sur le canton de Saint-Haon-le-Châtel. La commune s'étend sur les premiers contreforts des monts de la Madeleine. Elle possède deux barrages, le barrage du Chartrain (ou barrage de la Tache) et le barrage du Rouchain

      850 à 1294 : Les comtes du Forez et le prieur d'Ambierle sont co-seigneurs du pays. Des difficultés règnent entre eux, les comtes du Forez et le prieur d'Ambierle. Ces difficultés sont réglées par une convention datant de cette même année.

 1400 : Au début du 15ème siècle, la partie orientale de Renaison appartient à Jacques Coeur, grand argentier du roi Charles VII.

     Des murailles pour la protection du château et du bourg sont construites au début du XIVe siècle. Au XVe siècle, le grand argentier du roi Charles VII, Jacques Cœur, possède la partie orientale de Renaison. La ville fut pillée par les calvinistes en 1576, en 1591 et en 1592-1593. Une épidémie de peste a lieu pendant les années 1629-1630. Les passages de soldats qui « vivaient de vols et de rapines » suscitèrent une émeute en 1691.  

1900 :  L'industrie du biscuit se développe et Renaison devient la principale commune de la Côte Roannaise.

1970 - 1975 : Construction du 2ème barrage sur les rives du Rouchain.

Extrait de Mr Wikipédia

     La région semble habitée depuis les temps les plus anciens. Des silex bien taillés ont été retrouvés à la Panetière, une pierre levée à Peuil. L'origine de la paroisse remonte à la période chrétienne.   

     1127 : Sur l'actuelle place Crionnet se dressait la première église construite par le prieur d'Ambierle.  

     En 1888, la ville de Roanne fait construire le barrage du Chartrain dit le barrage de "la Tâche", beau barrage-voûte qui reste un modèle du genre. Il sera terminé en 1891.  Barrage-voûte construit de 1888 à 1891.

        C'est un bel ouvrage d'art en pierre de taille. Mis en eau en 1892, il semblerait que ce barrage-voûte soit l'un des plus anciens barrages-voûtes de France, avec ceux, légèrement antérieurs, du Gouffre d'Enfer et du Pas de Riot, sur le Furan, au sud du même département de la Loire.  Lors de la Révolution française, la co-seigneurie prend fin. Renaison prospère tout au long du siècle grâce au vignoble, aux moulins sur la rivière, aux commerces. Vers la fin du siècle, une épidémie de phylloxéra détruit la quasi-totalité du vignoble, qui renaîtra au cours du XX° siècle. Ce même XX°siècle qui verra se développer l'industrie du biscuit.

    La chapelle Saint-Roch Construite en 1869 par l'architecte M. CHATARD, elle fut remise au culte de la paroisse à la fin de sa construction en 1872.

     L'église Saint-Pierre Construite en 1896, son clocher est construit  en 1909.

     C'est une église néo-romane avec une nef à contreforts, un transept, une abside à quatre absidioles ainsi qu'un haut clocher en façade. De plus, un orgue est présent dans l'église. Il a été cédé en 1981 par la chapelle de l'œuvre de Saint-Nicolas (Paris) à l'association Saint-Roch de  Renaison.  Il  a  été  classé monument historique le 12 novembre 1991.

    Le château de Beaucresson : Propriété privée, au lieu-dit portant son nom  sur la route de Saint-Germain Lespinasse  et  remonte au XVe siècleIl possède une situation particulière car il se trouve à cheval sur les communes de Renaison et de Saint-Haon le Vieux. Ancien château fortifié entouré de larges

fossés dont chacun des angles étaient marqué d'une tour. Une seule d'entre elle est encore debout aujourd'hui.      

     Le château de la Bernarde C'est un domaine privé. Il est ouvert au public lors de la journée du patrimoine tous les deux ans ainsi que pour certaines occasions. Sa construction date de 1720-1750. Il est partiellement classé en tant que monument historique depuis le 16 mai 1979.

     Le château de Taron Il date du XVIIe siècle. C'est un château avec cour, jardins dessinés, pont-levis et terrasse. Il est aujourd'hui un Institut Médico Educatif 

      Le barrage du Rouchain Barrage-poids édifié en 1976. Il est séparé du barrage du Chartrain par une crête rocheuse.

      Cette ville accueillit aussi les  "chantiers de la jeunesse française". L'armistice du 22 juin 1940 ayant supprimé le service militaire obligatoire, les chantiers de jeunesse furent créés comme une sorte de substitut le 30 juillet 1940[1]. Les jeunes hommes de la zone libre et de l'Afrique du Nord française en âge (20 ans) d'accomplir leurs obligations militaires y étaient incorporés pour un stage de six mois. Ils vivaient en camps près de la nature, à la manière du scoutisme, mais avec le volontariat en moins, et accomplissaient des travaux d'intérêt général, notamment forestiers, dans une ambiance militaire. Ils étaient encadrés par des officiers d'active et de réserve démobilisés, ainsi que par des aspirants formés pendant la guerre de 1939-1940. À partir

de 1941 l'obligation des chantiers de jeunesse est étendue à tous les français de zone libre devant accomplir leurs obligations militaires pour 8 mois.

           Cet acte est bien lisible mais pour simplifier votre tâche, il s'agit : de la découverte d'un bébé mort né  trouvé caché dans un buisson sous de la terre.

Je crois que cet enfant était suffisamment caché pour n'être pas vu mais que des soupçons pesaient certainement sur une de  ses domestiques  par le maître des lieux.

    Alors là tout s'enchaîne, visite chez le propriétaire et bizarrement trouvé de suite une fille couchée se disant malade. Les pressions étaient tellement fortes que force fut bien d'avouer qu'elle avait mis au monde cet enfant, mort peu après sa naissance. Elle ne savait trop de qui était cet enfant. Elle cite deux noms savoir lequel est le père. Suit le rapport de police qui est sensiblement, mais en plus court, la constatation. On ne sait pas qu'elle fut sa peine.  

         Maintenant c'est plus simple. On accouche sous X et hop. Pas besoin de nom, ni du père ni de la mère. Ce n'est pas beaucoup mieux.
accueil                  
retour F à L        
page précédente    

page 1

   

page suivante