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Saône-et-Loire (71) Étang sur Arroux La Tagnière 1731 (1714/ 1742 page 121/193
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Hélas le suicide a toujours éxisté et en voila une preuve en 1731 mais avant un petit historique de cette paroisse "la Tagnière" et je remercie Rolande pour cet acte |
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C’est le château des Buissons demeure du XVIè siecle, actuellement l’habitation et le lieu de création d’une famille de sculpteurs renommés, Claire et Michel Thiam, cette propriété fut en 1656 celle de François de Rochemont, écuyer, capitaine d’une compagnie de chevaux-légers et maître d’hôtel du roi. Château de Bussière, actuellement propriété privée, a été bâti sur une ancienne motte féodale. Il est partiellement inscrit au titre des monuments historiques. Les éléments faisant l'objet de cette inscription son le plafond peint du 1er étage ainsi que son pont dormant. Lors de sa construction en 1640, le château était une maison seigneuriale. |
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Château de Montfeurton Château de TrélagueL’origine de ce nom vient de sa situation géographique : « les très laci » qui l’entouraient encore en 1829 ; étangs de Trélague, étang des Cloux, étang du Tabou. Il s’agit d’un ancien château fort construit sans doute au début du XVème siècle dont il ne reste que le donjon flanqué de deux tours d’angle, agrandi d’un corps de logis bâti certainement au XVIème siècle. C’est le seigneur de Montcenis qui avait fait construire ce donjon en 1399. C’est en 1911 que, le propriétaire, |
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Camille Roche de la Rigodière fit restaurer ce château :rebâtit l’escalier d’honneur, fit poser des lambris du XVIème s. dans le grand salon, ajouter des menaux aux baies et créer un deuxième étage dans les combles.Château des Berthiers Château les Buissons :Dans un site solitaire et clos, un logis flanqué d’une tour cylindrique coiffée d’une poivrière, prolongé par une épaisse tour barlongue accostée par une tour polygonale étêtée et creusée de petites baies rectangulaires. La Tagnière était, depuis le Moyen Age, une agglomération importante, commerçante et bourgeoise. Les habitations du bourg témoignent encore de cette prospérité. Au centre de la |
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place principale s'élève une haute tour quadrangulaire, solidement construite en belles pierres de granit, sorte de donjon d'une forteresse disparue, et qui fut utilisée à la fin du XVIe siècle par L'église Saint André de la Tagnière est bâtie sur un socle rocheux qui émerge dans le petit parc entourant l'édifice et qui a remplacé l'ancien cimetière. L'abside voûtée en cul de tfour et la travée de chœur sont du XIe siècle, la nef rectangulaire est du XIIe, les chapelles latérales, au nord eau sud de la nef, sont du XVIe, le porche, avec son clocher, et le berceau de la nef sont de la fin du XIXe siècle. les protestants. Ils y établirent leur "prêche" lorsqu'ils furent chassés d'Autun. |
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Rien n'apparaît dans les archives avant 1650, date à laquelle le château est acheté par Charles Lebrun, comte du Breuil en Bourbonnais. |
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Avec son épouse Henriette de la Tournette, il crée par testament sur leurs terres de Champignolle, dont relève entre autres le fief de Trélague, La terre de Champignolle, placée sous séquestre, revient à Louis. Le château de Champignolle se compose d'un corps de logis allongé complété à chaque extrémité d'un pavillon faisant saillie, il ne se visite pas c’est une propriété privée. Les communs forment 2 ensembles.L'ensemble du parc et du jardin a été conçu vers 1870 par Edouard André (Botaniste, journaliste et professeur à l'Ecole d'Horticulture de Versailles. Succédant à une demeure médiévale dont il a conservé les douves, date vraisemblablement du XVIIe siècle. |
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Casimir qui fait annuler sa renonciation par la cour de Dijon en l'an XI. Le château reste dans la famille Lebrun du Breuil jusqu'en 1836, Il semble avoir été reconstruit au XVIIe siècle à la place d'une demeure médiévale dont il a conservé les douves et des témoins, dans les parties basses Trélague, L’origine de ce nom vient de sa situation géographique : « les très laci » qui l’entouraient encore en 1829 ; étangs de étang des Cloux, étang du Tabou. Il s’agit d’un ancien château fort construit sans doute au début du XVème siècle dont il ne reste que le donjon flanqué de deux tours d’angle, agrandi d’un corps de logis bâti certainement au XVIème siècle. C’est le seigneur de Montcenis qui avait fait construire ce donjon en 1399. C’est en 1911 que, le propriétaire, Camille Roche de la Rigodière fit restaurer ce château : rebâtit l’escalier d’honneur, fit poser des lambris du XVIème s. dans le grand salon, ajouter des menaux aux baies et créer un deuxième étage dans les combles. |
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J'ai découvert qu'il existait encore quelques châteaux à "La Tagnière" mais malheureusement je ne trouve aucune reproduction ni historique concernant ces derniers "Château des Berthiers celui de Montfeurton et celui des Buissons sauf un petit résumé pour les Buissons. Dans un site solitaire et clos, un logis flanqué d’une tour cylindrique coiffée d’une poivrière, prolongé par une épaisse tour barlongue accostée par une tour polygonale étêtée et creusée de petites baies rectangulaires. Demeure du XVIè siecle, actuellement l’habitation et le lieu de création d’une famille de sculpteurs renommés, Claire et Michel Thiam, |
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cette propriété fut en 1656 celle de François de Rochemont, écuyer, capitaine d’une compagnie de chevaux-légers et maître d’hôtel du roi. Et en dernier le château de "Bussière" . Actuellement propriété privée, a été bâti sur une ancienne motte féodale. Il est partiellement inscrit au titre des monuments historiques. Les éléments faisant l'objet de cette inscription sont le plafond peint du 1er étage ainsi que son pont dormant. Lors de sa construction en 1640, le château était une maison seigneuriale. |
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Et maintenant notre suicide. Je m'aperçois au fil des actes que je met que tous ceux-ci étaient soit des actes sérieux soient des actes narrant des faits dramatiques. N'y avait-il donc aucune réjouissance dans ces temps reculés ?????? |
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Ce jourd'hui vingt cinq avril mil sept cent trente et un a esté enterré dans l'église de La Tanière, mort du jour précédent, muni de tous les sacrements Lazare Cornegrain musletier de Mr le marquis de Champignol âgé d'environ vingt trois ans et comme ledit Cornegrain est mort d'une maladie très violente causée par un transport au cerveau et ce qui a donné lieux aux officiers de la | |||||||
justice de Chapignole de ce transporté sur les lieux pour laire la tenue du corps attendu qu'il s'estoit luy même donné la mort d'un coup de fusil qu'il s'est tiré au milieu du corps dont ils ont dressé un rapport et en forme ................ je n'ai pu lui refuser la sépulture ecclésiastique, connaissant d'ailleurs ledit Cornegrain, bon catholique et que ce n'a esté que la violence de sa maladie qui luy a fait donner lui même la mort comme il appert | |||||||||
tant par les dépositions de vongt témoins que par le procès verbal dressé par les officiers de la justice et encore quant à reçu au commencement de sa maladie après avoir demandé très instamment, tous les sacrements qui luy ont esté administré par Monsieur le Curé de la chapelle à cause de mon absence. C'est ce qui m'a obligé de luy donner la sépulture. Fait en présence de etc. etc. et ça n'a pas changé, je crois, on ne donne toujours pas les sacrements au décès d'un suicidé............. |
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