Allier (03) Saligny-sur-Roudon 1677 |
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Jean-Philippe, 78 le premier acte est le baptême d'un enfant sans père ni mère, dénomé l'Orphelin François" baptisé juste avant son mariage http://recherche.archives.allier.fr/ark:/84133/a011290606955P8UYBD/1/284 le second acte est celui de son mariage béni le lendemain . http://recherche.archives.allier.fr/ark:/84133/a011290606955P8UYBD/1/285 Saligny sur Roudon : Saligny sur Roudon : Salignacium est le nom gallo-romain en langue d’oil le plus ancien ; c’est le domaine de Salignus (nom de personne). |
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Au moyen Age, l’altération a donné Silinia (X° siècle) puis Salignaci. Au XVIII° siècle, on l’écrit Salligny pour prendre sa forme actuelle. En 1901, pour éviter les confusions postales avec Jaligny, on ajoute « sur Roudon » (de roudo = rouge) la rivière rouge, car elle transporte les grès ferriques venant de l’amont. Le chateau appartient à la famille de Bartillat depuis 1834, il date du moyen Age et a subi de successives modifications et son aspect actuel est proche du style renaissance. Des premiers seigneurs de Saligny, il y a peu de souvenirs, mais des noms prestigieux s’attachent à ces pierres, Hugues de Chastel, Gaspard de Saligny seigneur de la Motte Saint-jean, Castelperron, Lourdin, Coligny, Paladin De Dyo, Anlezy, etc. En
1755, le château fut vendu à Jean Paris de Montmartel, célèbre financier,
par héritage il passe aux Micault de Courbeton qui le cédèrent à M. de
Saint Geaorges puis aux propriétaires actuels. |
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L'Orphelin, Il portait bien son nom, d'ailleurs il lui a été attribué ainsi parce qu'il était orphelin, quant à son prénom , peut-être le saint du jour où il a été trouvé ??? | ||||||||||
François
L'Orphelin qui fut trouvé à Pierrefitte il y a environ treize ou quatorze ans sans qu'on ait pu savoir ni son père ni sa mère, ni la paroisse d'où il est venu fut baptisé sous condition en l'église de Saligny avec les cérémonies des catéchumènes qui ont passé douze ans. Et ledit François ayant pour le moins l'âge de vingt ans suivant les informations que j'ai faites de son âge. Son parrain fut François Aloutot laboureur qui a dit ne savoir signer et la marraine Dame Louise Boiset femme de Mre François Dubouchet qui a signé fait et passé le seizième de juin mil six cent soixante et dix sept Michel prieur curé de Saligny |
Le vingt septième jour de
juin l'an mil six cent soixante et dix sept François L'orphelin qui fut trouvé petit au bourg de Pierrefitte sur Loire sans qu'on ait su d'où il avait été amené, et ensuite retiré en diverses maisons dudit lieu et des paroisses voisines, ci devant de la paroisse du Pin et maintenant de celle de Saligny assisté de Jean Minguet son maître laboureur et de François Aloutot son parrain comme il est dit au feuillet précédent, épousa Marguerite de Rondepierre fille de Jacques de Rondepierre laboureur demeurant métayer au domaine des Naux appartenant à Monsieur de La Varenne et de Philiberte Ranier, assistée de sesdits père et mère et de plusieurs autres ses parents et amis, et âgée d'environ vingt ans. lesquelles parties et leurs assistants ont déclaré ne savoir signer enquis. Les bans avaient été publiés dans lesdites deux paroisses de Saligny et du Pin les jours dix septième de juin fête du St Sacrement, vingtième, jour de dimanche, et vingt quatrième jour de la Nativité de Saint-Jean Baptiste sans découvrir aucun empêchement (signé) Michel prieur curé de Saligny |
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Laetare, Stephane, Martini
Robin & Antoniae Berjot fili ex vero matrimonio
Réjouis-toi, Etienne, fils de Martin Robin et Antoinette Berjot, de légitime mariage, au jour du malheur tu as trouvé la grâce, l'eau baptismale t'a déposé dans la Cité Fleurie, elle t'a sanctifié, à l'abri des tempêtes marines elle t'a amené vers le repos et le port de la religion. Donné le 26, an que dessus, devant Étienne Segain et Catherine Berjot qui sont garants |
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le
26/9/1657 à Saligny-sur-Roudon (Allier): |
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