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Calvados 14 Douville
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| cimetièredu
XIVe est classée depuis le 26 septembre 192710. Elle porte le Christ en
croix sur une face et la Vierge couronnée sur l'autre face. Château du XVIIIe siècle. |
| Ci-joint
un acte de décès en mer le 31 janvier 1855 de GARDIN Pierre Gustave,
(fils de GARDIN Amand Frédéric Michel x FERAL Marie Thérèse Eulalie)
apprenti marin, passager pour Toulon. Originaire de la commune de Douville en Auge (Calvados) Retranscrit en cette Mairie le 20 août 1855 par MORISSON Michelle Ce décès a eu lieu à bord du vaisseau "la Duguesclin" comme vu dans un autre acte il y eut 3 vaisseaux portant ce nom -un vaisseau de 74 canons de classe Téméraire lancé en 1807 ; -un vaisseau de 90 canons de classe Suffren lancé en 1848 ; -un cuirassé à coque en fer de la classe Vauban lancé en 1883. |
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| Celui qui nous interesse est le second attendu sa date de mise à l'eau quant au 3ème mise à l'eau bien longtemps après le décès de notre marin |
| AD Calvados (1823-1862 – p. 255, lot 7) |
| «
EXTRAIT- Transcription de l’acte de décès dont teneur suit qui nous a
été transmis par Mr. Le Ministre de la Marine et de Colonies : « Du Rôle
d’Equipage, du Vaisseau le Duguesclin, commandé par Mr. LACAPELLE,
Capitaine de vaisseau et armé à Brest a été extrait ce qui suit :
Le 31 janvier 1855, à 1 h 55 du soir, étant à la mer, 40°17 de latitude Nord, 14 degré de longitude Ouest, nous Emile Charles Marie CATTELIN, adjoint commissaire de la Marine, Officier d’administration du Vaisseau Le Duguesclin, témoin DADURE Louis Victor Auguste, Enseigne de vaisseau 32 ans, domicilié avant son embarquement à Brest (Finistère) et de M. JOUANNIC, |
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| dit
Poulmarch Auguste Pierre Marie François, Lieutenant de vaisseau, 35 ans,
domicilié avant son embarquement à Brest, déclarent et attestent
l’identité du cadavre de GARDIN Pierre Auguste, apprenti marin, etc….
domicilié avant son embarquement à Douville (Calvados) inscrit sur le
rôle d’équipage en qualité d’ apprenti marin, passager pour Toulon. Nous Commissaire aux Armements et Préfet au Port de Toulon où le dit navire a relâché le 10 du mois de février de l’an 1855, attestons que cette expédition est conforme à l’acte de décès inscrit à la suite du rôle de l’Equipage. A Toulon, le 16 du mois de février l’an 1855. Paris, le 9 mai 1855, le Ministre de la Marine et des colonies par délégation du Ministre, le Directeur de la comptabilité générale et de cette transcription, nous avons dressé le présent acte que nous avons signé l’an et le jour ci-dessus. ci-dessous le Rôle d'équipage dudit bateau qui relate ce décès |
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https://archives.calvados.fr/ark:/52329/k20xmwptrjg7/e9b8d41f-ddb7-4577-853f-2c474f0754c9
trouvé à Douville, AD Calvados (1823-1862 – p. 255, lot 7) ci-dessous la suite de cet acte |
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| Et pour
la petite histoire quelques mots sur ces trois bateaux Cent sept vaisseaux de ligne de la classe Téméraire ont été construits par la France, entre 1782 et 1813 ; ils cconstituent une des premières séries de navires de ligne construites selon des plans identiques, leurs éléments étant ainsi interchangeables entre deux navires de la série. Le Duguesclin mis en service en 1803 je n'ai rien retrouve Pour le troisième Le Duguesclin est un cuirassé à coque en fer de la classe Vauban ayant été en service dans la Marine française. Lancé en 1883, il entre en service en 1886 ; il est retiré du service en 1904. Quant au second sur lequel apparemment était notre matin voici un résumé le consernant et surtout de sa fin Le 14 décembre 1859, à 9h 30m du matin, un évènement désastreux s'accomplissait sur le rocher la Couette (Grenoc'h), situé près de la pointe nord de l'Ile-Longue ; le vaisseau de 82e le Duguesclin, armé pour essayer la machine de six cents chevaux de M. Mazeline, dont il venait d'être pourvu, s'échouait sur cet écueil, mal connu du pilote de la rade qui était à bord. Son personnel était de 184 hommes dont beaucoup embarqués de la veille seulement. A 9h 35m, le signal : « Le navire est échoué sur un fond dur » signal flottant à la mâture du Duguesclin, et appuyé d'un coup de canon, annonçait à Brest et aux vaisseaux mouillés sur la rade ( L'Algésiras, sur lequel le contre-amiral Pâris avait son pavillon, l'Impérial et l'Austria.) le malheur qui venait d'arriver. L'ordre d'évacuer la machine et les cales fut alors donné d'une manière absolue. Lire : http://www.notrepresquile.com/recits/autres/naufrage-ile-longue.php |
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