Une usine de filière existait à La Frette
En 1860, le Trévoltien Antoine Millan et deux autres lapidaires de l’Ain réalisent une filière dans un matériau quasi inusable : le diamant.
Saône-et-Loire (71) La Frette |
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La Frette est une commune française située dans le département de
Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté. Église de la Conversion-de-Saint-Paul, romane, du XIIe siècle, classée monument historique. |
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siècle, se développe à Trévoux l’industrie de la filière. Elle rayonnera
dans le monde entier. La filière est un outil percé par où l’on tire et
fait passer le métal pour le réduire en fils. Une usine de filière existait à La Frette En 1860, le Trévoltien Antoine Millan et deux autres lapidaires de l’Ain réalisent une filière dans un matériau quasi inusable : le diamant. |
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généralisation de l’électricité contribue au succès de cette industrie
(besoin de filaments en tungstène pour les ampoules). Les filières sont
exportées dans le monde entier. Une filière en diamant, qu’est-ce-que c’est ? C’est un outil rond comprenant un diamant percé en forme de cône qui permet de tréfiler (étirer et affiner) le métal pour fabriquer du fil métallique. Pour quelles utilisations ? Les filières en diamant permettaient de fabriquer les filaments de tungstène dans les ampoules électriques, de faire du fil pour les montures de lunettes, les baleines de parapluie, les rayons de vélos, les câbles électriques… Des tireurs d’or et d’argent , les ouvriers ont hérité d’un savoir-faire : l’étirage des métaux pour la fabrication de fil métallique au moyen d’une filière. Les filiéristes ont toujours cherché à fabriquer la filière la plus résistante qui soit et sont un jour parvenus à percer le diamant. |
| 1711/1750 pages 120 et 135 / 148 |
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Page 120/148 Aujourd’hui dixième de may 1744 a été baptisée une fille dont on ne Connait ny la mère parcequ’on l’a trouvée exposée dans Un bois (+) son parrain a été Pierre PAGE ET LA MARRAINE Magdeleine Page qui ne signent de ce enquis on a donné le nom de Magdeleine a cet Enfant je me suis soussigné |
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1711/1750
page 135/148 Une fille âgée d’environ trois ans dont on ne sait le père ny la mère ayant Eté trouvée dans un bois le 20 may 1744 et ayant été baptisée icy le parrain Pierre Page et la Marraine Magdeleine Page, est déédée le 20 et a été inhumée Le Vingt un avril 1747 dans le cimetière de la Frette en présence de Claude Dujon Son nourricier et Benoit Paycot marguillier qui ne signent enquis |
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