Saône-et-Loire (71)

Beaurepaire

Beaurepaire-en-Bresse est une commune française, située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
L'ancienne paroisse de Beaurepaire appartenait, sous l'ancien régime, au diocèse de Besançon1, du doyenné de Lons-le-Saunier, de la subdélégation de Louhans. Elle fait aujourd'hui partie du diocèse d'Autun.
Beaurepaire est le nom qu'avait pris l'une des plus anciennes seigneureries du Louhannais
Le château de Beaurepaire est la fierté du village. Il a été rénové par ses propriétaires Paul-Ivan et Anita de Saint-Germain depuis une dizaine d'années.
Le château propriété privée, ne se visite pas se présente sous la forme d'un long corps de logis de plan rectangulaire. Un pont de pierre donne accès à un passage aménagé dans un pavillon.
À l'angle sud-ouest, un gros pavillon correspond peut-être à la tour de la maison forte. Clos de murs, le vaste parc a été transformé en pâtures. Le château, tel qu'il est aujourd'hui, a été construit sur les caves d'une forteresse médiévale. Il est entouré de fossés et l'on y
accède par un pont dormant.
Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 3 octobre 19972. Cette inscription concerne le château et ses dépendances, les fossés et le pont-dormant ainsi que la petite chapelle à décor de gypseries et lambris moulurés et sculptés.2000-2009: De nombreux travaux de restauration sont exécutés (la tour, la chapelle, les salons). Le château continue à faire la fierté du village.
Monuments
L'église paroissiale de l'Assomption de la Sainte Vierge1. Elle est construite entre 1849 en remplacement d'une ancienne église en mauvais état et trop petite par rapport à la population. Elle a été bénie par Monseigneur d'Héricourt, évêque d'Autun, le 12 septembre 1949.
Situé en bordure du Revermont, le village de Beaurepaire possède un château du même nom construit en briques, bien visible de la route nationale 78.
1275 : le premier propriétaire connu de la maison forte est Hugues d'Antigny.
L'histoire, fort ancienne, lie étroitement le village, le château et la famille, qui portent le même nom. Une " maison forte " existait en effet à cet emplacement dès le 13eme siècle.
Fin du XIIIe siècle : elle passe à Hugues de Vienne et, après lui, à d'autres membres de la famille de Vienne Le château, rebâti au 15eme siècle par Thibault de Beaurepaire, fut
assiégé par les protestants en 1562, et Jean du Peyrat, célèbre lyonnais, périt à ce siège. le château passe à la famille de Beaurepaire.
On rapporte que sa promise " Clémence de Bourges, " la perle des demoiselles lyonnaises , la Sapho du 16eme siècle ", en conçut une si vive douleur qu'elle ne put survivre. La " tour " (gros bâtiment de forme carrée, le plus proche de la chapelle) dérive sans doute du château du 15eme siècle ; le bâtiment qui se trouve au nord de la voûte, qui était autrefois la ferme du château, date du 17eme siècle.
1503 : Jean de Beaurepaire déclare posséder la terre en franc-alleu.
Mais l'ensemble a été complètement réaménagé au 18eme siècle, en même temps qu'était créé le long corps de logis qui relie la voûte à la " tour ". La chapelle est également du 18eme siècle, à l'exception du clocheton, du 19eme. La plupart des communs datent de la deuxième moitié du 18eme siècle et furent construits vers 1770 aux frais de Jean Baptiste Joseph de Beaurepaire, pour permettre l'organisation de foires et de marchés. On y accédait par une porte couverte d'un petit toit, distincte de l'entrée du château, et qui existe toujours. le château était en effet doté d'un jardin “à la française”, qui disparut au moment de la Révolution. Ne reste de ce jardin qu'une statue de Vénus (que l'on voit à l'extrémité d'une allée) et une petite pyramide (dans un champ, vers le nord). Les façades et les toitures du château et de ses dépendances ont été inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 3 octobre 1997, ainsi que la chapelle, le " pont dormant " (le pont de pierre d'entrée) et les fossés (qui autrefois entouraient la " tour " et la chapelle). Ce château est propriété de la famille Beaurepaire depuis sans doute le 15eme siècle ; la dernière propriétaire en portant le nom est Odile de Beaurepaire. Le propriétaire actuel est son fils. le Général Paul-Ivan de Saint Germain.
Le fossé que franchit le pont dormant est le vestige des fossés du 15eme, creusés au moment de la première construction de la tour. La chapelle est une construction caractéristique du 18eme, mais le clocheton, en tavaillons de châtaigniers, a été ajouté au milieu du 19eme (en même temps qu'était construite la nouvelle église de Beaurepaire, remplaçant l'ancienne qui se trouvait au hameau des Collots). Jean Baptiste Joseph de Beaurepaire fut autorisé le 2 août 1767 à établir deux foires chaque année, et un marché chaque semaine ; il fit construire à ses frais une halle au devant du château et donna une place nécessaire pour la situation du bétail de toutes espèces et autres marchandises qui y seraient amenées. L'ouverture eut lieu le 16 mai 1768
Résumé fait à partir de
http://www.beaurepaire-en-bresse.com/data/patrimoine/historique%20chateau.pdf
acte peu banal
1764/1784 page 69/202
J’ai bien vu des naissances d’enfants inconnus mais de plus déclaré par un inconnu !!!!!!!!!!
Jeanne Marie Fille de parents inconnus présentée par un
Inconnu a la porte de l’église paroissiale de Beaurepaire le
Huit avril mil sept cent soixante douze a été baptisée
Par le (Viguée !) et a eu pour parrain Marie Buffet et pour
Marraine Jeanne Moureaux tous les deux domestiques à Beaurepaire
Illétrés requis
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