Saône-et-Loire (71) Hopital le Mercier |
| Par Julien Dessaux fraîchement déniché : Le 09/09/1899 à L'Hôpital-le-Mercier (71) naît Stéphane Joseph BELAT, fils de Jean Baptiste et de Benoite MEILLERAND. Sur l'acte, on peut lire la mention marginale comme quoi « le-dit Stéphane Joseph s'est marié à l'Hôpital-le-Mercier le 04/08/1945 avec Jeanne BOUILLARD. Jusque là, pas de souci. Néanmoins, en dépouillant les Actes de décès de cette même commune, je suis tombé (aïe !) sur un acte en date du 08/01/1900 stipulant que Stéphane Joseph BELAT, fils de Jean Baptiste et de Benoite MEILLERAND, âgé de 4 mois, est décédé au domicile de ses parents... Jeanne BOUILLARD a-t-elle épousé un zombie ? Chapelle ancienne dans le cimetière ; église du XIXe dans le Bourg. |
| Les habitants se nomment les Hospitois. La tradition prétend qu’à l’origine, il y avait dans ce village un hôpital pour les lépreux, desservi par des religieuses qui portaient le nom de sœurs bonnes. Il était situé au lieu-dit appelé encore aujourd’hui les Sorbonnes et qu’on nommait à la fin du XVIIIe siècle : Esserbonnes ou Es-serbonnes. Au moment où Courtepée (un abbé sous-professeur du collège de Dijon) visitait la paroisse en 1776, il ne restait déjà plus aucune trace de cet hôpital. Ce n’était plus qu’un souvenir conservé par le nom du lieu, mais qui pourrait remonter à plusieurs siècles, c’est-à-dire à l’époque où la paroisse a |
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| commencé d’exister, et d’où elle a pu tirer son nom..Quant aux mots Le Mercier, ajoutés à L’Hôpital, d’aucuns prétendent qu’ils viendraient du mot latin merces, edis qui veut dire : gage, récompense, pour indiquer que cet hôpital aurait cela de particulier que les malades y étaient admis à titre de récompense et gratuitement. On trouve parfois dans de vieux actes, au lieu de L'Hôpital-le-Mercier, L'Hôpital de Murcy ou de Murcye |
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Le 09/09/1899 à L'Hôpital-le-Mercier (71) naît Stéphane Joseph BELAT, fils de Jean Baptiste et de Benoite MEILLERAND. Sur l'acte, on peut lire la mention marginale comme quoi « le-dit Stéphane Joseph s'est marié à l'Hôpital-le-Mercier le 04/08/1945 avec Jeanne BOUILLARD. Jusque là, pas de souci. Néanmoins, en dépouillant les Actes de décès de cette même commune, je suis tombé (aïe !) sur un acte en date du 08/01/1900 stipulant que Stéphane Joseph BELAT, fils de Jean Baptiste et de Benoite MEILLERAND, âgé de 4 mois, est décédé au domicile de ses parents... Jeanne BOUILLARD a-t-elle épousé un zombie ? |
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Après énième vérification auprès du dépouillement effectué, il s'avère
que des mentions marginales ont été apposées sur les actes de naissances
des deux enfants : Stéphane Joseph, marié le 11/08/1945 à
L'Hôpital-le-Mercier avec Jeanne BOUILLIN Benoit Marius, décédé le 31/01/1982 à Paray le Monial... 2 solutions s'offrent à nous : 1) Stephane Joseph décède bien en 1900 et Benoit Marin est appelé des mêmes prénoms que celui décédé 2) C'est Benoit Marin qui décède soit les parents ou l'Etat civil se trompent en déclarant ce + que c'est Stéphane Joseph qui décède alors que c'est Benoit Marin |
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| Quel sac
de noeuds alors qui est mort à l'age de 4 mois en 1900 Qui s'est marié en 1945 et comme de juste on n'a pas accès à cet acte ................ affaire à suivre, je note tous nos courriers peut-être arrivera-t-on à démêler l'écheveau peut être en mairie l'acte de xge de 1945 il y a 77 ans donc communicable Benoit marius qui + en 1982 (Benoit Marin comme de juste) mais avec les âges (même pas puisqu'ils étaient jumeaux Ca se corse Chacun interpretera ces actes à leur manière mais il y a quelque chose qui ne va pas si quelqu'un peut me dire quoi !!!! merci |
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